Smart case V2, Keith Haring édition couleur

Ögon Design : Le savoir faire à la française

Malgré son nom à la sonorité scandinave, Ögon design est un fabriquant français qui, avec ses produits en aluminium au design minimaliste et ingénieux, a révolutionné la maroquinerie traditionnelle.

Dans leurs ateliers, basés en Normandie, Ögon produit des portefeuilles et des portes cartes tout en protégeant la Nature. En effet, c'est une entreprise éco responsable qui utilise, à hauteur de 70%, de l'aluminium recyclé pour fabriquer leurs produits.

Un portefeuille léger mais robuste

Fabriqués en France, ces porte cartes sont réalisés en aluminium anodisé, un matériau entièrement recyclable, léger et en même temps très robuste. Vos cartes seront à l'abri même dans la poche d'un jean ou d'un blouson.

Le modèle Smart Case V2 est équipé d'un fermoir métallique. Résistant à l'eau, vos cartes, papiers et billets seront protégés même en cas d'intempéries. Son format compact et son poids plume en font le compagnon idéal à glisser dans toutes les poches. Il peut accueillir jusqu'à 10 cartes classiques (y compris les nouveaux permis de conduire), ainsi que quelques billets de banques et autres papiers (reçus CB, etc.). 

Le Smart Case V2 existe également dans une version large, qui a les mêmes caractéristiques et qui possède, en plus de ses emplacements pour y glisser vos cartes, un compartiment « secret » parfait pour y glisser votre pièce d'identité ou quelques billets.

Dans les deux dimensions ; le portefeuille Ogon s'ouvre d'une seule main, ce qui rend son contenu facile d'accès. 

Un portefeuille très sécurisé

Autre avantage du corps en aluminium de ces portefeuilles, il protège les cartes de la démagnétisation et de la fraude car ils sont RFID Safe. Vos données sont totalement sécurisées, même pour les cartes avec la technologie sans contact.

Keith Haring Pionnier de la culture urbaine et du Street Art dans les années 8O

Keith Haring était Inspiré par les graffeurs dont les marques recouvraient les wagons du métro, Il a commencé à dessiner au crayon blanc sur le papier noir utilisé pour recouvrir les panneaux publicitaires vacants. Non seulement il a pu toucher un public large et diversifié avec ses dessins dans le métro, mais, le métro est devenu, un "laboratoire" pour élaborer ses idées comme il le disait lui même. L'artiste cherchait à créer un sentiment d'unité et à forger des relations qui transcendent toutes sortes de frontières - culture, société, valeurs et croyances. Il le faisait à travers son art, en comblant le fossé entre l'art classique et la culture populaire, et en diffusant son message à tous. Les espaces publics, les bâtiments et les objets du quotidien étaient sa toile.